Une fois de plus, le jour se prend dans mes récélés...
Je n'en finis pas d'aimer cette naissance tranquille et fugitive de la clarté, de 5 à 6h00 du matin. Le réveil paresseux de l'aube qui s'étire et s'extrait doucement de l'obscurité, pendant qu'attablée sur ma varangue, je prolonge indûment mon petit déjeuner... Mais tous les matins finissent toujours captifs, dans l'éclatante blancheur du moucharabieh brodé du salon.
Alors, adieu paresse ! Bonjour la douche et les escaliers pour Kawéni...Mais ...là, j'anticipe.
(et pour les habitués, comme d'hab, d'autres images en cliquant sur le titre)
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