Pour faire un écho modeste et révérencieux à Luc et ses magnifiques histoires d'eau....
Au mileu de la ville, entre deux immeubles, là où personne ne sait même qu'il peut y avoir de l'eau, des bambous, une vie... des femmes et des filles lavent interminablement le linge et prennent leur bain....
Dans un repli dicret de verdure, un clos de lumière tamisée et intime, au bord du monde, ni tout à fait dedans ni tout à fait dehors, une poignée d'êtres humains attache le temps et lui imprime un rythme personnel, ignorant superbement (au moins pour ce moment particulier) ce qui les entoure.
Gerhard aime ça.
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J’ai revu Nath. récemment le « béïbéï » va bien nous allions faire de
l’argentique dans le jardin mais avant nous prenons un café pendant que je
prépare l’...
4 commentaires:
Un si joli luc au chocolat chaud !
ça pourrait être "bassine street blues"... Et c'est pourtant le matin du monde!
L.............uC
Oui, c'est bien ce que je ressens devant ces tableaux vivants (premiers matins du monde alors que toutes les raisons pour désespérer de cette vie de chien)
La parenthèse à la fin du texte donne toute sa puissance au contenu, bravo.
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